détail qui tue ami·es piscinables

Le détail qui tue : les ami·es piscinables

L’été est à nos portes – ou, du moins, ne devrait plus tarder – et il est temps de faire le tri dans votre carnet d’adresses et de vérifier si vos ami·es sont «piscinables». Par ce terme barbare, on entend ami·es ayant une piscine ou ayant accès à une piscine.

Pour ce faire, tous les moyens sont permis : on ausculte les stories et les posts Instagram, on épluche les historiques Facebook et on tend l’oreille pendant les apéros. Attention aux erreurs de débutant·es : une piscine à Tassin-la-Demi-Lune ou à Saint-Ismier, ce n’est pas la même chose qu’une piscine à Brégnier ou à Saint-Georges d’Orques (dégainez Google Map, c’est fait pour ça !). Une fois vos contacts piscinables classés par zone géographique et type de bassins (une piscine semi-enterrée ne peut rivaliser face à un large perpendiculaire carrelé avec soin), vous saurez vers qui porter votre attention et qui peut être délaissé·e jusqu’à la rentrée.

 

Illustration : A Bigger Splash (1967) de David Hockney

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