Les filles se réapproprient la rue
Samedi 26 novembre, un peu plus de 200 «meufs, gouines et trans» ont pris part à une «Marche de nuit non-mixte» visant à dénoncer toutes les violences sexistes, notamment celles qui se produisent dans la rue, espace public par excellence : remarques déplacées, insultes, agressions physiques ou sexuelles… Le cortège a notamment mis un point d’honneur à défiler dans le Vieux Lyon, un quartier qui est depuis plusieurs mois témoin d’agressions racistes commis par des jeunes militants d’extrême-droite.
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