Spécial #150 : la titraille nous tiraille

S’il existe une constante chez les équipes d’Hétéroclite, c’est que la titraille nous tiraille. Florilège de plus ou moins bon goût à travers les 50 derniers numéros qui nous ont mené·es jusqu’ici.   

#106 : Un Roi Carotte à ne pas râper
Référence végétarienne pour ce grand succès de l’Opéra de Lyon créé en 2015 et repris ce mois-ci à l’occasion des fêtes de fin d’année. 

 

 

 

#115 : Deneuve avec du vieux
Focus sur l’impériale Catherine à l’occasion de sa venue à Lyon en octobre 2016 pour la remise du Prix Lumière.

 

 

 

#117 : Pisse and Love
En collaboration avec le Centre de santé et de sexualité de Lyon, un papier sur les bonnes pratiques pour jouer avec son urine, ou celle des autres. 

 

 

 

#118 : Sagat, plus fort que toi
Interview de la porn-star française à l’occasion de sa venue dans la Capitale des Gaules en janvier 2017

 

 

 

#122 : L’Albee ne fait pas le moine
Où l’on tentait de mettre au jour le sous-texte homosexuel de Qui a peur de Virginia Woolf ?, pièce iconique d’Edward Albee, jouée au TNP de Villeurbanne en mai 2017.

 

 

 

#129 : Toutou pour mon chéri, mon chéri
Coup de projecteur sur la pratique du puppy play avec Loup Junior et Florian Moginski en janvier 2018.

 

 

 

#133 : Sous MD
Marguerite forever avec ce titre stupéfiant à l’occasion d’une lecture de textes de Duras organisée dans le cadre des Assises du Roman 2018 de la Villa Gillet.

 

 

 

#138 : PMA : les lesbiennes contre-attaquent 
Un des très nombreux articles consacrés à l’ouverture de la PMA à toutes les femmes : si les lesbiennes ont finalement obtenu gain de cause, le combat continue pour les personnes trans (voir grand entretien p. 8-10).

 

 

#143 : Dans l’air Dustan 
Il aurait eu 54 ans en novembre et l’acuité de ses écrits des années 90 est toujours saisissante. Hughes Jourdain montait Dustan sur la scène du Lavoir public en avril 2019.

 

 

 

#148 : Sida : Macron va-t-il toucher le fonds ?
Rappel en octobre 2019 : l’efficacité de la lutte contre le VIH-sida est certes dépendante des moyens financiers qui lui sont octroyés mais également de la mise en place de politiques plus égalitaires et moins répressives à l’encontre des populations les plus fragilisées.