
Le détail qui tue : le pantacourt, par Mademoiselle Agresse
«En jean, en toile ou en organza, le pantacourt on n’en veut pas !».
Tel pourrait être le mot d’ordre des prochaines Marches des Fiertés lorsqu’elles se trouveront en mal d’inspiration. A-t-on vraiment envie que ce fugitif d’une Halle aux vêtements désaffectée, entre l’ersatz de bermuda un peu benêt qui aurait grandi trop vite et le succédané de pantalon à qui on aurait refilé des hormones de croissance frelatées, transforme nos villes en camping du Grau-du-Roi à l’heure de l’apéro ? Je ne crois pas, non. Si je vois encore un pantacourt dans les rues cet été, je plastique un Pantashop. Vous êtes prévenu-e-s.
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